J’ai testé la liposuccion avant l’été
Cela faisait plusieurs années que j’étais complexée par ma culotte de cheval récalcitrante et mon petit petit bidon disgracieux et au mois de mai, j’ai sauté le pas : j’ai pris rendez-vous avec un chirurgien esthétique et nous avons planifié ensemble une liposuccion.
Qu’est-ce que la liposuccion ?
C’est une opération de chirurgie esthétique qui a la côte aussi bien auprès des hommes que des femmes. Cela permet non pas de maigrir, mais d’enlever les cellules graisseuses localisées qui résistent encore et toujours aux régimes. Attention, ce n’est pas une solution miracle pour les personnes souffrant d’un surpoids important ou d’obésité. Elle n’est indiquée que lorsque le patient a quelques bourrelets disgracieux sur certaines zones du corps comme les cuisses, le ventre ou les hanches. Lorsque l’opération est parfaitement réalisée, la graisse ne réapparaît pas.
Ma première visite
Avant de voir mon chirurgien, j’étais assez stressée, mais finalement, il s’agit d’une visite médicale comme une autre. Le spécialiste a commencé par me poser des questions sur mes antécédents médicaux pour évaluer les risques de l’opération puis viennent les choses sérieuses.
Il m’a ensuite demandé ce qui me gênait chez moi et pourquoi je souhaitais réaliser une liposuccion. Ensuite, il m’a ausculté pour vérifier la tonicité de ma peau (excellente, merci beaucoup) et ma silhouette. Il m’a alors décrit les différentes étapes de l’opération ainsi que les risques et les complications possibles.
N’étant pas trop rassurée, j’ai demandé à avoir une deuxième visite pour pouvoir lui poser toutes les questions auxquelles je n’avais pas pensé la première fois.
Il faut respecter un délai de réflexion d’environ 15 jours entre la consultation et le jour de l’opération, pour être sûr de ne pas changer d’avis. Après avoir vu l’anesthésiste, j’étais fermement décidée à aller jusqu’au bout. Mon opération était programmée pour le 27 mai.
Le déroulement de l’opération
C’est une intervention en ambulatoire, donc je suis entrée le matin et ressortie le soir. Je n’avais pas tant de graisse à aspirer, mais s’il y en avait eu plus, j’aurais dû passer la nuit à l’hôpital. Cela se déroule sous anesthésie générale. Le chirurgien pratique de fines incisions, juste de quoi faire passer une canule reliée à une machine qui va aspirer la graisse. En deux temps, trois mouvements, toute la graisse ou presque avait été aspirée de mon ventre et de mes cuisses.
Après l’opération, je suis restée en observation quelques heures et l’on m’a conseillé de porter des bas de contention et une gaine (top glamour) pendant 4 semaines. J’étais assez gonflée au niveau du ventre et j’avais quelques ecchymoses, mais elles se sont estompées au bout de quelques jours.
Et après ?
J’étais plutôt fatiguée et je prenais des antalgiques pour la douleur, mais j’étais assez satisfaite du résultat. Ma récupération s’est déroulée sans accroc et un mois après, je n’avais plus de fil et le résultat était vraiment visible, surtout pour le ventre. J’ai pu reprendre le sport et j’ai commencé à rééquilibrer mon alimentation pour ne pas reprendre trop de poids.
Mes cicatrices sont très discrètes et légères et je vais pouvoir penser à mes vacances à la mer sans crainte. Le chirurgien m’a même dit que c’était bon pour ma silhouette de marcher dans l’eau de mer. Alors, pourquoi me priver ?
Faire une liposuccion avant l’été ne pose pas de problème et cela vous assure même d’avoir le bikini body de vos rêves à exhiber sur la plage en toute impunité. Alors, à moi Saint-Tropez cet été !